![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
Pink Floyd |
---|
Site officiel : http://www.pinkfloyd.com/home/1.html |
Site en Français : http://www.chez.com/richardion/pink_floyd.htm |
The Piper At The Gates Of Dawn (1967) | ||
![]() | Astronomy domineLucifer SamMatilda motherFlamingPow R Toc HTake up thy stethoscope & walk | Interstellar overdriveThe gnomeChapter 24ScarecrowBike |
Presque exclusivement propriété du génial et fou Syd Barrett, The Piper At The Gates Of Dawn est un voyage psychédélique comme on n'en fait plus. C'est une suite de petites histoires entre extra terrestres, Lewis Carroll ou encore Tolkien soulignées par une composition presque baroque (écouter l'instrumental Interstellar overdrive pour s'en convaincre) Par la suite Barrett deviendra presque fou, laissant les rênes à roger Waters et David Gilmour. |
Meddle (1971) | ||
![]() | One of these daysA pillow of windsFearless | San TropezSeamusEchoes |
Meddle est une parenthèse dans la carrière de Pink Floyd. Construit pour le vynil avec une face composée de courts titres et une autre avec un seul (Echoes qui deviendra l'une des pièces majeures du groupe) C'est un rock progressif où les influences classiques se font ressentir mais qui souffre malheureusement d'une distorsion entre les deux faces, la première, bien que très riche musicalement, donnant une certaine impression d'éparpillement. |
The Dark Side Of The Moon (1973) | ||
![]() | Speak to meBreatheOn the runTimeThe great gig in the sky | MoneyUs and themAny colour you likeBrain damage |
L'album au plus de 30 millions d'exemplaire vendus, à la quinzaine d'années de présence dans les charts US et au succès planétaire Money. Ceci n'est pas étonnant tant le soin apporté à la production et la qualité du son paraissent évidents. Le concept général de The Dark Side Of The Moon est l'existence, de la naissance (Speak to me) à la folie (Brain Damage) On note la présence plus forte que précédemment des orgues de Rick Wright qui donne un aspect plus progressif que psychédélique à ce disque. |
Wish You Were Here (1975) | ||
![]() | Shine on you crazy diamond Part OneWelcome to the machineHave a cigar | Wish you were hereShine on you crazy diamond Part Two |
Album hommage à Syd Barrett qui contient le superbe succès Shine on you crazy diamond décliné en début et en fin du disque. Sur ce titre David Gilmour donne la pleine mesure de son jeu de guitare dans de longs solos soulignés par des nappes de synthés. Wish You Were Here est l'oeuvre la plus abordable de Pink Floyd mais aussi une transition entre l'insouciance des albums précédents et la dureté des albums à venir tandis que les premiers problèmes d'ego ne tarderont pas à survenir. |
Animals (1977) | ||
![]() | Pigs on the wing 1DogsPigs | SheepPigs on the wing 2 |
Animals est un album très sombre dans lequel les humains sont divisés en trois catégories : Pigs (la luxure), Dogs (le profit) et Sheeps (ceux qui suivent) C'est une vaste critique de la société sur des textes très mordants, même si l'idée n'est pas originale, mais avec une composition assez aérée et subtile. Les trois morceaux phares durent chacun une quinzaine de minutes et sont encadrés par les deux versions de Pigs on the wing à la guitare accoustique. |
The Wall (1979) | ||
![]() | In the fleshThe turn iceAnother bricks in the wall Part 1The happiest days of our livesAnother bricks in the wall Part 2MotherGoodbye blue skyEmpty spacesYoung lustOne of my turnsDon't leave me nowAnother bricks in the wall Part 3Goodbye cruel world | Hey youIs there anybody out thereNobody homeVeraBring the boys back homeComfortably numbThe show must go onIn the fleshRun like hellWaiting for the wormsStopThe trialOutside the wall |
The Wall est délicat de première approche avec son thème général de l'enfermement (souligné par les nombreux bruitages qui parsèment les compositions) qui donne une impression oppressante tout au long de l'album. Roger Waters, en bon despote qu'il est devenu, laisse libre cours à sa vision personnelle et à sa colère en proposant au bout du compte un album qui sonne plus rock mais aussi qui laisserait presque à penser qu'il a été écrit uniquement pour être joué sur scène (ainsi qu'en témoignent les orchestrations de Michael Kamen) |