Rolling Stones

Site officiel : http://www.rollingstones.com/home.php
Site en Français : http://www.sympathyforthedevils.com/



Her Satanic Majesties Request (1967)

Sing this all together
Citadel
In another land
2000 man
Sing this all together
She’s a rainbow
The lantern
Gomper
2000 light years from home
On with the show
A la suite de Sergent Pepper, les Stones s’engouffrent eux aussi dans le psychédélisme avec une pochette clin d’œil à leurs copains les Beatles. Avec plus ou moins de réussite selon les titres mais avec un superbe She’s a rainbow, un injustement méconnu Citadel et un hallucinant 2000 light years from home.



Beggar’s Banquet ( 1968)

Sympathy for the devil
No expectations
Dear doctor
Parachute woman
Jigsaw puzzle
Street fighting man
Prodigal son
Stray cat blues
Factory girl
Salt of the earth
Retour au rock avec Beggar’s Banquet. Le rock de tous les excès festifs dont les garçons étaient coutumiers mais un rock carré et pur (Street fighting man) avec en point d’orgue Sympathy for the devil et son mythique solo de guitare. Un album tribut à la fête, l’amour et l’alcool.



Let It Bleed (1969)

Let it bleed
Love in vain
Midnight rambler
Gimme shelter
You got the silver
You can’t always get what you want
Live with me
Monkey man
Country honk
Le disque de tous les succès avec un époustouflant Keith Richards dont l’amour de blues se ressent régulièrement ici. Entre la guitare magique de Gimme shelter ou de Midnight rambler et la voix presque noire de Mick Jagger sur Love in vain on est simplement en présence d’un des tous meilleurs albums des Rolling Stones.



Sticky Fingers (1971)

Brown sugar
Sway
Wild horses
Can’t you hear me knocking
You gotta move
Bitch
I got the blues
Sister morphine
Dead flowers
Moonlight mile
Premier disque de Mick Taylor qui n’avait fait que participer à Let It Bleed mais aussi quelques guest-stars (Le saxo Bobby Keys sur Brown sugar, Ry Cooder à la slide sur sister morphine) et l’apogée de la production Stones. C’est aussi le moment de subtiles variations latines ou même jazzy qui prouvent si besoin était le talent des jeunes gens qui ont parfaitement assimilés leurs influences. Servis par une rythmique à toute épreuve au sein de laquelle Bill Wyman fait apprécier ses subtiles nuances, les duettistes passent à la moulinette ce qui va devenir rapidement de grands classiques comme Wild horses, You gotta move, I got the blues ou Moonlight mile. Indispensable pour découvrir ou redécouvrir les Rolling Stones.



Exile On Main Street (1972)

Rocks off
Rip this joint
Shake your hips
Casino boogie
Tumbling dice
Sweet Virginia
Torn and frayed
Sweet black angel
Loving cup
Happy
Ventilator blues
Just wanna see his face
Let it loose
All down the line
Stop breaking down
Shine a light
Soul survivor
Enregistré sur la Côte d’Azur, loin du fisc anglais, les Stones recréent leur vision de l’Amérique dans leur dernier chef-d’œuvre : Gospel (Shine a light) boogie (Rip this joint) blues (Ventilator blues et Stop breaking down de Robert Johnson) et rock (Tumbling dice) Les meilleures compositions rythmiques des Stones se retrouvent ici avec notamment l’apport de Nicky Hopkins au piano en soutien de Ian Stewart.



Goat’s Head Soup (1973)

Dancing with Mr. D.
100 years ago
Coming down again
Doo doo doo doo doo
Angie
Silver train
Hide your love
Winter
Can you hear the music
Star star
Cette fois c’est à la Jamaique que les Stones se réfugient pour enregistrer un album nettement plus moyen mais où figure le tube planétaire Angie ainsi que quelques délires fort réjouissants comme Doo doo doo doo doo ou Star star. C’est un album honorable mais l’excellence des précédents rend exigeant.



It’s Only Rock’n’Roll (1974)

If you can’t rock me
Ain’t too proud to beg
It’s only rock’n’roll
Till the next good bye
Time waits for no one
Luxury
Dance little sister
If you really want to be my friend
Short and curlies
Fingerprint file
Le titre de l’album en résume l’état d’esprit : on revient au rock et c’est ce qu’ils font de mieux. Un disque énergique avec une reprise forte du Ain’t too proud to beg des Temptations, quelques brûlots et une partie de piano magique de Ian Stewart sur Short and curlies. Que demander de plus ? Après tout It’s only rock’n’roll.